Des raisins qui rôtissent dans le four, du basilic frais sur le balcon, le parfum solaire des olives et des anchois, et puis l’inoubliable trifle où l’on a plongé toutes nos cuillères : en trois recettes, la cheffe d’origine canadienne, Kaitlyn Reinhart, a exprimé l’essence de sa cuisine et de son langage créatif. Des goûts, des senteurs et des sensations où se rencontrent les souvenirs d’enfance, une inspiration couleur dolce vita, l’amour de la cueillette et de la nature. En plein cœur de Paris, Kaitlyn nous emmène ailleurs, là où l’été s’éclipse lentement pour laisser place à l’automne et à ses réconforts.
Comment la cuisine est-elle entrée dans ta vie ?
Elle a toujours été là, car j’ai grandi dans une maison où la nourriture était essentielle. Dans son potager, ma mère cultivait plein de légumes et d’herbes et mon père m’a transmis l’importance de l’esthétique d’un plat. Mes parents cuisinaient tout le temps et très bien, notamment des burgers garnis de galettes de viande mélangées aux herbes fraîches du jardin, accompagnés d’une salade César très relevée en ail. Puis, à 29 ans, de façon intuitive et en autodidacte, j’ai commencé à cuisiner professionnellement.
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